- EAN13
- 9782749272474
- Éditeur
- Erès
- Date de publication
- 19/02/2022
- Collection
- Clinique du travail
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
Autre version disponible
-
Papier - Erès 18,00
Elles sont sept femmes, de 35 à 60 ans, infirmières, couturière, assistante
sociale…, mariées ou célibataires, grands-mères ou en attente de fonder une
famille, vivant en ville ou à la campagne, harcelées, surchargées, ballottées
ou encore mal traitées par un supérieur, un collègue, un système. Elles sont
tombées brutalement, après un long déni. Elles ont mis des mois à se relever.
Repérées par le service social de l’Assurance maladie, elles ont accepté de
participer à des séances de groupe. Leurs sept récits de burn-out aux
caractéristiques communes montrent avec une émotion intacte que cette «
maladie » de l’estime de soi, causée par une longue exposition quotidienne à
un stress majeur proche du stress post-traumatique, est bel et bien une
pathologie chronique. Avec un titre en « pied-de-nez », qui ironise sur les
promesses de rétablissement en 15 jours, elles démontrent pas à pas combien le
travail social de groupe, et plus largement toutes les modalités de travail
collectif entre pairs, est bénéfique : sortie de l’isolement, gestion d’un
calendrier, souci de présentation physique, sentiment d’être comprises,
partage, entraide… Ensemble, elles ont créé une association pour venir en aide
à d’autres victimes du burn-out et pour définitivement transformer une
épouvantable épreuve en ressource pour les autres.
*[21 février]: selon le calendrier julien
*[XIXe]: Dix-neuvième
*[19 mars]: selon le calendrier julien
sociale…, mariées ou célibataires, grands-mères ou en attente de fonder une
famille, vivant en ville ou à la campagne, harcelées, surchargées, ballottées
ou encore mal traitées par un supérieur, un collègue, un système. Elles sont
tombées brutalement, après un long déni. Elles ont mis des mois à se relever.
Repérées par le service social de l’Assurance maladie, elles ont accepté de
participer à des séances de groupe. Leurs sept récits de burn-out aux
caractéristiques communes montrent avec une émotion intacte que cette «
maladie » de l’estime de soi, causée par une longue exposition quotidienne à
un stress majeur proche du stress post-traumatique, est bel et bien une
pathologie chronique. Avec un titre en « pied-de-nez », qui ironise sur les
promesses de rétablissement en 15 jours, elles démontrent pas à pas combien le
travail social de groupe, et plus largement toutes les modalités de travail
collectif entre pairs, est bénéfique : sortie de l’isolement, gestion d’un
calendrier, souci de présentation physique, sentiment d’être comprises,
partage, entraide… Ensemble, elles ont créé une association pour venir en aide
à d’autres victimes du burn-out et pour définitivement transformer une
épouvantable épreuve en ressource pour les autres.
*[21 février]: selon le calendrier julien
*[XIXe]: Dix-neuvième
*[19 mars]: selon le calendrier julien
S'identifier pour envoyer des commentaires.